Rappel : votre numéro du mois d'octobre 2022

PLANTES ET BIEN ETRE

Plantes & Bien-Être <plantes-bien-etre@abo1.nouvelle-page-sante.info>

10:03 (il y a 55 minutes)

À moi

S’il y a bien une chose que j’ai retenue…

Chère lectrice, cher lecteur,

S’il y a bien une chose que j’ai retenue du temps passé à éditer une revue de médecine chinoise que vous connaissez peut-être, c’est la nécessité de s’adapter, dans toutes les dimensions de notre être, aux saisons.

Dans votre numéro d’octobre, le Dr Franck Gigon le souligne très justement. Cela lui permet notamment de vous présenter les 6 plantes les plus capables de vous aider en cette période.

Elles agissent sur l’immunité, la fatigue (si vous êtes particulièrement fatigué, on en reparle page 12, avec des solutions de gemmothérapie au cas par cas), le stress, l’humeur (surtout si vous êtes anxieux ou déprimé) et la détoxication d’un organe primordial et souvent maltraité : votre foie !

Vous y trouverez d’autres conseils pratiques pour « harmoniser votre horloge interne » ou encore pour manger comme il faut, en suivant les sept principes de la diététique automnale.

Je vous laisse découvrir tout cela et bien plus encore dans votre numéro de Plantes & Bien-Être, et je profite de cette évocation de la diététique automnale pour vous livrer une de mes recettes préférées… de saison bien entendu !

Elle est tirée de la fameuse revue que j’évoquais plus haut et que vous connaissez peut-être, Les Secrets de la Médecine Chinoise pour ne pas la nommer.

Il s’agit du délicieux canard croustillant. La recette que je vous partage est idéale pour 4 personnes. Pour cela, il vous faut :

Un canard d’environ 2 kg vidé et plumé,
2 cuillères à soupe de poivre du Sichuan,
2 cuillères à soupe de gros sel,
2 oignons,
2 belles lamelles de gingembre,
1 bonne cuillère à soupe de vin (idéalement du vin de riz chinois appelé Shaoxing, ou shàoxīng jiǔ, pour rester dans l’ambiance « diététique chinoise » jusqu’au bout ; mais si c’est difficile de vous en procurer, vous pouvez très bien le remplacer par du vin de xérès par exemple),
4 cuillères à soupe de sauce soja,
2 litres d’huile d’arachide,
125 g de farine,
De l’eau.

Annonce spéciale

ELLE PERD 8 KILOS EN 4 MOIS GRÂCE À… LA GRAISSE DE CANARD !

Je découvre cette technique

En cliquant, je reçois des informations gratuites sur le régime cétogène. Je peux me désinscrire à tout moment.

Suite de votre lettre du jour :

Au niveau des ustensiles, les plus spécifiques sont la friteuse (mais une large poêle à frire fera tout aussi bien l’affaire si vous n’en possédez pas) et le cuit-vapeur dont – il faut le préciser – la taille doit pouvoir accueillir un grand le saladier pouvant lui-même contenir le canard entier… Si vous avez cela, on peut commencer.

La première étape consiste à faire griller à sec les grains de poivre du Sichuan pendant 1 minute. J’adore leur saveur unique, métallique et boisée. Dès que vous sentez leur parfum, ajoutez le gros sel et faites griller 1 minute de plus. Versez le mélange dans un bol et laissez refroidir avant de tout broyer dans un mortier ou au mixeur. Réservez, le temps d’émincer les oignons et le gingembre que vous ajouterez à votre mélange poivre/sel. Arrosez avec le vin et mélangez bien.

Rincez le canard et séchez-le à l’aide d’un linge propre avant d’en frotter l’intérieur et l’extérieur avec votre préparation de vin épicé. Mettez le canard dans le fameux grand saladier et laissez reposer toute une nuit au réfrigérateur.

Le lendemain, mettez la quantité nécessaire d’eau en fonction du diamètre de votre cuit-vapeur et faites chauffer. Placez le saladier avec le canard dans le haut du cuit-vapeur ; c’est parti pour 2 à 3 heures de cuisson.

Attention, la viande doit rester tendre ! Je vous conseille d’ailleurs de laisser le canard reposer pendant quelques minutes après cette première cuisson avant de passer à l’étape suivante.

Badigeonnez le canard tout entier avec la sauce soja et saupoudrez-le avec la farine. Faites chauffer l’huile dans la friteuse et faites frire le canard pendant 3 minutes environ, jusqu’à ce qu’il soit bien doré et croustillant.

Le top du top est de faire une double cuisson dans le bain de friture, mais veillez tout de même à ce que la peau ne devienne pas trop foncée. Voilà, il n’y a plus qu’à découper les parts et à passer à table.

Si comme moi vous adorez le canard, vous allez vous régaler ! Si ce n’est pas une viande que vous affectionnez plus que ça, vous pouvez réaliser la même recette avec du porc ou avec du lapin, en adaptant le temps de cuisson.

Le canard est de « Nature Fraîche » en diététique chinoise, comme le lapin. Le porc, lui, est de « Nature Neutre ».

Il ne faut pas abuser, ni en quantité, ni dans la durée, des aliments de nature Fraîche car ils sont mauvais – selon la médecine chinoise là encore – pour la rate et le pancréas. Cela dit, le début de l’automne reste le meilleur moment de l’année pour les savourer car ils vont aider les poumons à lutter contre la sécheresse qui est l’énergie automnale, celle-là même dont les poumons ont horreur.

Mais je ne veux pas vous embêter plus longtemps avec les lois complexes de la diététique chinoise. Profitez-en pour vous y initier avec gourmandise à travers cette recette dont, j’espère, vous me direz des nouvelles.

Bon appétit !

Voici ici votre numéro du mois d'octobre.

Bonne lecture,

Matthieu Conzales

Recommandé pour William :

BON A SAVOIR : Accédez à votre espace personnel et retrouvez tous vos numéros en ligne en cliquant ici.

Si ce message vous a été transféré et que vous n'êtes pas encore abonné à Plantes & Bien-Être, cliquez ici pour recevoir la revue chaque mois.

Plantes & Bien-Être est une publication des éditions Nouvelle Page

Vous recevez ce message car vous êtes abonné à Plantes & Bien-Être.
Votre numéro client est le : 0026715512

Pour toute question relative à votre abonnement : rendez-vous ici.

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PLANTES ET BIEN ETRE

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À moi

S’il y a bien une chose que j’ai retenue…

Chère lectrice, cher lecteur,

S’il y a bien une chose que j’ai retenue du temps passé à éditer une revue de médecine chinoise que vous connaissez peut-être, c’est la nécessité de s’adapter, dans toutes les dimensions de notre être, aux saisons.

Dans votre numéro d’octobre, le Dr Franck Gigon le souligne très justement. Cela lui permet notamment de vous présenter les 6 plantes les plus capables de vous aider en cette période.

Elles agissent sur l’immunité, la fatigue (si vous êtes particulièrement fatigué, on en reparle page 12, avec des solutions de gemmothérapie au cas par cas), le stress, l’humeur (surtout si vous êtes anxieux ou déprimé) et la détoxication d’un organe primordial et souvent maltraité : votre foie !

Vous y trouverez d’autres conseils pratiques pour « harmoniser votre horloge interne » ou encore pour manger comme il faut, en suivant les sept principes de la diététique automnale.

Je vous laisse découvrir tout cela et bien plus encore dans votre numéro de Plantes & Bien-Être, et je profite de cette évocation de la diététique automnale pour vous livrer une de mes recettes préférées… de saison bien entendu !

Elle est tirée de la fameuse revue que j’évoquais plus haut et que vous connaissez peut-être, Les Secrets de la Médecine Chinoise pour ne pas la nommer.

Il s’agit du délicieux canard croustillant. La recette que je vous partage est idéale pour 4 personnes. Pour cela, il vous faut :

Un canard d’environ 2 kg vidé et plumé,
2 cuillères à soupe de poivre du Sichuan,
2 cuillères à soupe de gros sel,
2 oignons,
2 belles lamelles de gingembre,
1 bonne cuillère à soupe de vin (idéalement du vin de riz chinois appelé Shaoxing, ou shàoxīng jiǔ, pour rester dans l’ambiance « diététique chinoise » jusqu’au bout ; mais si c’est difficile de vous en procurer, vous pouvez très bien le remplacer par du vin de xérès par exemple),
4 cuillères à soupe de sauce soja,
2 litres d’huile d’arachide,
125 g de farine,
De l’eau.

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Au niveau des ustensiles, les plus spécifiques sont la friteuse (mais une large poêle à frire fera tout aussi bien l’affaire si vous n’en possédez pas) et le cuit-vapeur dont – il faut le préciser – la taille doit pouvoir accueillir un grand le saladier pouvant lui-même contenir le canard entier… Si vous avez cela, on peut commencer.

La première étape consiste à faire griller à sec les grains de poivre du Sichuan pendant 1 minute. J’adore leur saveur unique, métallique et boisée. Dès que vous sentez leur parfum, ajoutez le gros sel et faites griller 1 minute de plus. Versez le mélange dans un bol et laissez refroidir avant de tout broyer dans un mortier ou au mixeur. Réservez, le temps d’émincer les oignons et le gingembre que vous ajouterez à votre mélange poivre/sel. Arrosez avec le vin et mélangez bien.

Rincez le canard et séchez-le à l’aide d’un linge propre avant d’en frotter l’intérieur et l’extérieur avec votre préparation de vin épicé. Mettez le canard dans le fameux grand saladier et laissez reposer toute une nuit au réfrigérateur.

Le lendemain, mettez la quantité nécessaire d’eau en fonction du diamètre de votre cuit-vapeur et faites chauffer. Placez le saladier avec le canard dans le haut du cuit-vapeur ; c’est parti pour 2 à 3 heures de cuisson.

Attention, la viande doit rester tendre ! Je vous conseille d’ailleurs de laisser le canard reposer pendant quelques minutes après cette première cuisson avant de passer à l’étape suivante.

Badigeonnez le canard tout entier avec la sauce soja et saupoudrez-le avec la farine. Faites chauffer l’huile dans la friteuse et faites frire le canard pendant 3 minutes environ, jusqu’à ce qu’il soit bien doré et croustillant.

Le top du top est de faire une double cuisson dans le bain de friture, mais veillez tout de même à ce que la peau ne devienne pas trop foncée. Voilà, il n’y a plus qu’à découper les parts et à passer à table.

Si comme moi vous adorez le canard, vous allez vous régaler ! Si ce n’est pas une viande que vous affectionnez plus que ça, vous pouvez réaliser la même recette avec du porc ou avec du lapin, en adaptant le temps de cuisson.

Le canard est de « Nature Fraîche » en diététique chinoise, comme le lapin. Le porc, lui, est de « Nature Neutre ».

Il ne faut pas abuser, ni en quantité, ni dans la durée, des aliments de nature Fraîche car ils sont mauvais – selon la médecine chinoise là encore – pour la rate et le pancréas. Cela dit, le début de l’automne reste le meilleur moment de l’année pour les savourer car ils vont aider les poumons à lutter contre la sécheresse qui est l’énergie automnale, celle-là même dont les poumons ont horreur.

Mais je ne veux pas vous embêter plus longtemps avec les lois complexes de la diététique chinoise. Profitez-en pour vous y initier avec gourmandise à travers cette recette dont, j’espère, vous me direz des nouvelles.

Bon appétit !

Voici ici votre numéro du mois d'octobre.

Bonne lecture,

Matthieu Conzales

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À moi

S’il y a bien une chose que j’ai retenue…

Chère lectrice, cher lecteur,

S’il y a bien une chose que j’ai retenue du temps passé à éditer une revue de médecine chinoise que vous connaissez peut-être, c’est la nécessité de s’adapter, dans toutes les dimensions de notre être, aux saisons.

Dans votre numéro d’octobre, le Dr Franck Gigon le souligne très justement. Cela lui permet notamment de vous présenter les 6 plantes les plus capables de vous aider en cette période.

Elles agissent sur l’immunité, la fatigue (si vous êtes particulièrement fatigué, on en reparle page 12, avec des solutions de gemmothérapie au cas par cas), le stress, l’humeur (surtout si vous êtes anxieux ou déprimé) et la détoxication d’un organe primordial et souvent maltraité : votre foie !

Vous y trouverez d’autres conseils pratiques pour « harmoniser votre horloge interne » ou encore pour manger comme il faut, en suivant les sept principes de la diététique automnale.

Je vous laisse découvrir tout cela et bien plus encore dans votre numéro de Plantes & Bien-Être, et je profite de cette évocation de la diététique automnale pour vous livrer une de mes recettes préférées… de saison bien entendu !

Elle est tirée de la fameuse revue que j’évoquais plus haut et que vous connaissez peut-être, Les Secrets de la Médecine Chinoise pour ne pas la nommer.

Il s’agit du délicieux canard croustillant. La recette que je vous partage est idéale pour 4 personnes. Pour cela, il vous faut :

Un canard d’environ 2 kg vidé et plumé,
2 cuillères à soupe de poivre du Sichuan,
2 cuillères à soupe de gros sel,
2 oignons,
2 belles lamelles de gingembre,
1 bonne cuillère à soupe de vin (idéalement du vin de riz chinois appelé Shaoxing, ou shàoxīng jiǔ, pour rester dans l’ambiance « diététique chinoise » jusqu’au bout ; mais si c’est difficile de vous en procurer, vous pouvez très bien le remplacer par du vin de xérès par exemple),
4 cuillères à soupe de sauce soja,
2 litres d’huile d’arachide,
125 g de farine,
De l’eau.

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Au niveau des ustensiles, les plus spécifiques sont la friteuse (mais une large poêle à frire fera tout aussi bien l’affaire si vous n’en possédez pas) et le cuit-vapeur dont – il faut le préciser – la taille doit pouvoir accueillir un grand le saladier pouvant lui-même contenir le canard entier… Si vous avez cela, on peut commencer.

La première étape consiste à faire griller à sec les grains de poivre du Sichuan pendant 1 minute. J’adore leur saveur unique, métallique et boisée. Dès que vous sentez leur parfum, ajoutez le gros sel et faites griller 1 minute de plus. Versez le mélange dans un bol et laissez refroidir avant de tout broyer dans un mortier ou au mixeur. Réservez, le temps d’émincer les oignons et le gingembre que vous ajouterez à votre mélange poivre/sel. Arrosez avec le vin et mélangez bien.

Rincez le canard et séchez-le à l’aide d’un linge propre avant d’en frotter l’intérieur et l’extérieur avec votre préparation de vin épicé. Mettez le canard dans le fameux grand saladier et laissez reposer toute une nuit au réfrigérateur.

Le lendemain, mettez la quantité nécessaire d’eau en fonction du diamètre de votre cuit-vapeur et faites chauffer. Placez le saladier avec le canard dans le haut du cuit-vapeur ; c’est parti pour 2 à 3 heures de cuisson.

Attention, la viande doit rester tendre ! Je vous conseille d’ailleurs de laisser le canard reposer pendant quelques minutes après cette première cuisson avant de passer à l’étape suivante.

Badigeonnez le canard tout entier avec la sauce soja et saupoudrez-le avec la farine. Faites chauffer l’huile dans la friteuse et faites frire le canard pendant 3 minutes environ, jusqu’à ce qu’il soit bien doré et croustillant.

Le top du top est de faire une double cuisson dans le bain de friture, mais veillez tout de même à ce que la peau ne devienne pas trop foncée. Voilà, il n’y a plus qu’à découper les parts et à passer à table.

Si comme moi vous adorez le canard, vous allez vous régaler ! Si ce n’est pas une viande que vous affectionnez plus que ça, vous pouvez réaliser la même recette avec du porc ou avec du lapin, en adaptant le temps de cuisson.

Le canard est de « Nature Fraîche » en diététique chinoise, comme le lapin. Le porc, lui, est de « Nature Neutre ».

Il ne faut pas abuser, ni en quantité, ni dans la durée, des aliments de nature Fraîche car ils sont mauvais – selon la médecine chinoise là encore – pour la rate et le pancréas. Cela dit, le début de l’automne reste le meilleur moment de l’année pour les savourer car ils vont aider les poumons à lutter contre la sécheresse qui est l’énergie automnale, celle-là même dont les poumons ont horreur.

Mais je ne veux pas vous embêter plus longtemps avec les lois complexes de la diététique chinoise. Profitez-en pour vous y initier avec gourmandise à travers cette recette dont, j’espère, vous me direz des nouvelles.

Bon appétit !

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